monétisation

9
Nov

Twitter fait de la pub, les marques followent…

La masse d’utilisateurs détenue par le réseau Zuckerberg séduit les marques qui y voient autant de consommateurs potentiels. Mais ceux-ci, mal qualifiés (actifs, influents), diluent l’efficacité du contenu de marque dans l’océan du Web. À l’heure où Twitter se met à lancer des campagnes sur sa plateforme, la question de la rentabilité publicitaire sur les réseaux sociaux s’affine et se précise. Sur les médias sociaux, la recommandation fait foi : une marque peut tromper une fois mille personnes, mais pas mille fois mille personnes…

Une croissance fulgurante de près de 800% en France propulse Google+ à 3,03 millions d’utilisateurs entre juillet et octobre (source : Nielsen Médiamétrie), Facebook pulvérise ses concurrents avec 27 millions de membres et tire la couverture mondiale à 700 millions d’adhéres à son réseau… En 2011, nous sommes 7 milliards de potentiels consommateurs sur terre qui préférons choisir plutôt que subir.
La visibilité pour une marque dépendrait-elle fondamentalement du pouvoir viral généré par le nombre de ses inscrits sur un réseau social ? Des résultats d’ordre quantitatif semblent toujours attractifs pour des annonceurs en quête du dispositif idéal pour optimiser durablement la viralisation de leur contenu sur les médias sociaux.
Qu’en est-il ? La session de travail du Social Media Club France dédiée à la monétisation des médias sociaux du 11 octobre dernier à la Cantine a mis en lumière l’importance pour un annonceur de veiller à la « qualité » du fan sur une plateforme telle que Facebook, plus qu’à sa « quantité« . En bref, mieux vaut privilégier une poignée d’utilisateurs « actifs » générateurs de « share« , « likes » et « comments« . Invité pour l’occasion, Pierre-François Chiron, fondateur de la régie publicitaire de Facebook, MakeMeReach, a pris pour exemple la page de la série de Canal +, Bref, qui, avec son million de fans inscrits sur sa page, suscitent beaucoup plus de conversations et d’actions autour de sa marque que Coca Cola pourtant détenteur de trente-cinq fois plus de fans que Bref. Ici, le phénomène observé démontre clairement que l’utilisateur n’interagit pas seulement avec les publicités et les marques, mais aussi avec ses pairs.

Optimiser en cash la publicité sur les médias sociaux

Les marketers cherchent sans relâche le moyen de déployer les outils de ciblage les plus pointus ayant en vue le retour sur investissement (ROI) d’une marque sur les médias sociaux (cette mesure d’efficacité et de retour des sommes investies sur la publicité Facebook reste encore difficilement qualifiable). Actuellement, une stratégie publicitaire pour une marque n’est pas applicable à une autre et le concept qui buzzera pour Danone déclenchera un impact inversement médiocre pour Dim. La nature et l’univers de la marque se devraient donc d’opter pour son dispositif viral personnalisé sur les média sociaux.
De fait, pour MakeMeReach, il serait plus logique de facturer la campagne d’un client en fonction du nombre de fans sur la page Facebook 15 jours après la fin de la campagne, seul moment où l’on peut juger de son retentissement comme de son efficacité, en fonction de la quantité et de la qualité de la communauté de fans à mobiliser pour la suite.
Sur Facebook, la stratégie marketing à adopter englobera livres, musique, produits de consommation comme un objet rattaché à une URL. Les « boutons » seront prochainement personnalisés et au « like » de l’OpenGraph s’ajouteront d’autres métriques indiquant aux marketers si le fan aime mais également achète un produit ou regarde une vidéo, par exemple.

Qualifier et contrôler le coeur de cible

Comme outil de viralité au service des marques, Twitter se démarque de Facebook par sa capacité de ciblage d’une audience qualifiée. Identifier une poignée d’influenceurs, en affinité avec l’univers de la marque, assure une diffusion ciblée du contenu ainsi qu’ un rayonnement médiatique aux quatre coins du Web. Grâce à une couverture démographique massive, certes, le site de Zückerberg excelle en matière de visibilité auprès des marques et du grand public ; Twitter, quant à lui, en matière de visibilité auprès des leaders d’opinion, véritables prescripteurs à même de toucher le coeur de cible de la marque. Choisir le bon dispositif viral pour être vu par les intéressés sans se perdre dans l’océan de la Toile : voilà un défi de taille pour les marques.
Le compte-rendu du Social Media Club France rapporte que des travaux menés en psychologie expérimentale en contexte Web montrent que « les internautes construisent des défenses, mettent au point des logiques d’évitement de la publicité. » Un phénomène d’autant plus observé sur un réseau social perçu par l’internaute comme un espace privé où l’apparition d’une réclame figure une intrusion des plus hostiles… 
Sur ce sujet, Twitter adopte une position transverse où marques et utilisateurs se rencontrent sur le même terrain. Ainsi, Twitter offre aux marques la possibilité de contrôler la conversation autour de leur contenu grâce au hashtag (#), en témoigne la série américaine Terra Nova qui dote, pendant la diffusion de ses épisodes, un #TerraNova en bas de l’image. Une méthode qui favorise les interactions entre spectateurs « à domicile » tout en garantissant une e-reputation monitorée par Twitter.

 

 

Monétisation de l’audience

La monétisation de l’audience est un terme aussi couru que prononcé fébrilement dans la bouche des acteurs du Web et des agences médias. Éminente garantie d’un business model solide, les sites d’e business comme ceux de la presse en ligne ne jurent que par les techniques de monétisation offrant la promesse d’un écosystème Web plus bankable. Les annonceurs sont logiquement attirés par la publicité « sociale » malgré des taux de clics très faibles avoisinant la moitié seulement de la moyenne du display. 
Selon le fondateur de MakeMeReach, dès qu’un internaute achète un produit et en parle sur les réseaux sociaux, ce seront entre «  2 et 17€ de gagnés pour la marque« . Twitter endosse depuis quelques semaines le rôle de régie publicitaire en France. Parmi les 1600 annonceurs présents sur le réseau les premiers français sur Twitter sont Orange, Bouygues Telecom et Red Bull, selon La Tribune. Moyennant 20 000€, une marque peut diffuser des tweets sponsorisés sur la TimeLine, apparaître dans les suggestions de comptes à « follower« , ou encore être affiché dans le « trending topics » parmi les mots-clés les plus populaires du jour. Autre possibilité, confier son contenu à une personnalité influente sur Twitter, un blogueur ou une star dont le pouvoir de prescription est exponentiellement puissant en terme de viralité. Les consommateurs subissent la suggestion du prestige de « l’ambassadeur de la marque  » ; pour exemple en 2010, la marque Nespresso utilise l’image de l’acteur G. Clooney pour promouvoir son café.

10 000$ le tweet

En France, le tweet serait payé 50 à 350 euros… aux Etats-Unis, les cachets peuvent parfois atteind
re 10 000 $ pour un seul message de 140 caractères ou moins ! Éphémères et volatiles, les tweets atteignent une petite part du marché mais touchent le public à une époque où les téléspectateurs ont tout le loisir d’ignorer les messages publicitaires grâce au streaming, ou la Catch Up TV.
Un nombre grandissant de compagnies s’affairent désormais à mettre en contact les entreprises et les vedettes, qui sont payées pour faire l’éloge de certains produits à leurs milliers – ou millions – d’abonnés.
Les revenus totaux générés par de la publicité présentée sur les divers réseaux sociaux pourraient atteindre à l’international 5,4 milliards de $US en 2011 et 10 milliards de $US en 2013, d’après la plus récente étude de la firme eMarketer. La très grande majorité des sommes récoltées provient bien sûr de Facebook, qui récolterait près de 3,8 milliards de $US en revenus publicitaires pour cette même période.
Mais, en cinq ans d’existence, Twitter a transformé la consommation des internautes, leur façon de voter mais aussi d’influencer le cours de l’histoire, comme on l’a vu lors des soulèvements populaires en Tunisie et en Afrique.
Tout laisse à penser que le réseau social est aussi en passe de révolutionner le marketing social. Si l’image d’une marque est plébiscitée en temps réel par un seul et unique influenceur drainant une large communauté qui lui fait confiance, l’impact viral d’un tel message ciblé aura raison d’une bouteille à la mer lancée sur une « Fan Page » d’un million de membres passifs.

 

Billet initialement publié sur ElectronLibre.info

 

8
Nov

Conférence Social Gaming : les présentations des intervenants

Mercredi dernier s’est tenue à La Cantine la première conférence de la saison 2010/2011 du SMC : Engagement des audiences et monétisation : le social gaming, un modèle à suivre ?, en présence de Benoît Raphaël, Thibault Viort (Weka Entertainment), Thomas Jestin (KRDS), Erwan Guiriec (Click & Game Entertainment) et Dimitri Ducourtieux (IFeelGoods). Les présentations des intervenants sont désormais disponibles. La vidéo et le compte-rendu des échanges seront mis en ligne dans les jours qui viennent.

socialgaming-smcfrance

La présentation de Thomas Jestin, confondateur de l’agence KRDS: Le social gaming comme levier d’engagement pour les marques
La présentation de Dimitri Ducourtieux, COO and VP Europe chez IFeelGoods, sur le fonctionnement d’IFeelGoods et le système de micro-incentives lié aux Facebook Credits
15
Oct

Engagement des audiences et monétisation : le Social Gaming, un modèle à suivre ? mercredi 3 novembre à La Cantine

socialgaming-socialmediaclubfrance

On compte à travers le monde pas moins de 400 millions de social gamers, dont 83 millions pour le seul Farmville. L’application éditée par l’américain Zynga doit son succès à la formidable plateforme de distribution que représente Facebook et ses fonctionnalités sociales de recommandation et d’échange interindividuels. Car c’est là que réside l’originalité de ces jeux d’un nouveau genre : le plaisir retiré par le joueur ne découle pas de la sophistication du gameplay, de la complexité du scénario ou de la richesse du graphisme, mais repose avant tout sur l’expérience sociale offerte par ces applications ludiques à la forte dimension communautaire, caractérisées par leur simplicité de prise en main et une courte durée de jeu. Ceci explique leur succès auprès de publics traditionnellement peu enclins à jouer : la moyenne d’âge du social gamer est de 30 ans et les femmes représentent 60% de l’ensemble des joueurs outre-Atlantique!

Selon une étude du cabinet eMarketer menée en juillet dernier, le poids du marché du social gaming pour l’année 2011 dépassera le milliard de dollars. Ce chiffre représente l’ensemble des investissements publicitaires sur ce segment ajouté aux revenus générés par les micro-paiements des utilisateurs. Cette seconde source de revenu est la plus importante -notamment du fait du succès des « bien virtuels » qui servent de monnaie d’échange aux transactions entre joueurs, et Facebook l’a bien compris qui se propose depuis peu d’en organiser l’achat via son système de « Credits ».

Avec 3 millions de social gamers, le marché français n’est pas en reste face à ce phénomène. Dès lors, le Social Media Club France se propose d’identifier les bonnes pratiques ayant émergé autour de cette activité en pleine croissance, et de réfléchir avec les professionnels du secteur aux enjeux et perspectives liés aux stratégies d’engagement de l’utilisateur et de monétisation que ces social games ont mis au jour.

Rendez-vous donc le mercredi 3 novembre à 19h00 à La Cantine pour échanger autour de ces thématiques en présence de :

  • Thomas Jestin, cofondateur de KRDS
    Le social game, levier d’engagement pour les marques
  • Dimitri Ducourtieux, COO and VP, Europe, IFeelGoods
    Economie des biens virtuels, crédits Facebook et micro-incentives

C’est Benoît Raphaël, cofondateur de Revsquare et blogueur sur La Social Newsroom, qui animera les débats. N’hésitez pas à (re)lire la série de billets qu’il a consacrés au sujet sur son blog.

La conférence sera suivie d’un cocktail.
Les 10 euros que nous vous demandons serviront aux frais logistiques (espace, buffet, boisson).

>>  Inscription obligatoire sur Amiando <<

13
Juil

[Vidéo] Sport et Médias Sociaux en 2010

[flashvideo file= »http://lacantine.cdn02.rambla.be/common/2010-07-09_19-13-27_aa3736/low.mp4″ /]


Introduction et animation des débats par Bertrand Horel (Social Media Club France) et Xavier Sauvignat (iDalgo). Intervenants : Olivier Touillez (Responsable contenus sport nouveaux médias,CANAL+), Clément Guillot (directeur marketing L’Equipe 24/24), Vincent Grynbaum (Directeur du développement AMAURY International) et Vincent Courcelle (cofondateur de Beterz.com).

Sport et Médias Sociaux en 2010 - par le Social Media Club France et iDalgo


La conférence, organisée par le Social Media Club France en partenariat avec iDalgo, s’est déroulée le vendredi 9 juillet 2010 à La Cantine. Elle a été diffusée en direct sur Agoroom, plateforme de streaming enrichissant l’expérience live de l’évènement d’un agrégateur des tweets associés à la conférence (le hashtag: #smcf).

Retrouvez la vidéo accompagnée des slides de la présentation ainsi que l’ensemble des conférence du Social Media Club France sur la plateforme de contenus de La Cantine.

8
Juil

La conférence Sport et Médias Sociaux en 2010 sera streamée en live sur Agoroom

agoroom



A l’occasion de la conférence du vendredi 9 juillet à La Cantine « Sport et Médias Sociaux en 2010 », le Social Media Club expérimentera avec Agoroom un outil de retransmission vidéo en live : les débats pourront être suivis en direct sur le site qui proposera dès 19h00 le flux vidéo de la conférence et un agrégateur des tweets relatifs à l’évènement (le hashtag : #smcf).

agoroomlogo
Si vous n’êtes donc pas présents à La Cantine demain soir: rendez-vous sur Agoroom à 19h00 !

21
Juin

Conférence du Social Media Club France > Sport et médias sociaux en 2010 – le 9 juillet à La Cantine

Le Social Media Club France organise le vendredi 9 juillet 2010, en partenariat avec iDalgo (Agence de presse sportive spécialiste nouveaux médias), une table-ronde sur le thème :

Sport et médias sociaux en 2010 : l’important, c’est de participer !

SMC0907




L’intérêt suscité par les grands évènements sportifs n’est plus à démontrer. L’appétit du grand public pour le sport-spectacle, la fascination pour ses stars adulées, ses héros malheureux et l’intensité dramatique construite au gré des retransmissions expliquent la médiatisation sans pareil de ces compétitions internationales, telle la coupe du monde de football qui se déroule en ce moment même en Afrique du Sud.
L’évènement représente, durant un mois, une expérience collective vécue en simultané par des millions d’individus autour de leur petit écran, la télévision fédérant autour de ces programmes des audiences colossales. Cet engouement profite d’ailleurs à l’ensemble des médias qui couvrent l’évènement au plus près et inondent un mois durant le paysage médiatique de toujours plus de contenu au gré du déroulement de la compétition (directs, interviews, comptes-rendus, bruits de vestiaires, avis d’expert…).
Les nouveaux modes de consommation des contenus audiovisuels et la dérégulation du marché des paris sportifs ne représentent-ils pas néanmoins une réelle opportunité d’engagement des audiences au delà de cette simple consommation passive de contenu issu des médias traditionnels ? L’évènement sportif demeure en effet avant tout une expérience sociale, vécue en groupe, à propos de laquelle le grand public comme les aficionados aiment à partager leurs vues, leurs commentaires, leurs pronostiques…
Comment les médias sociaux peuvent-ils donc enrichir et prolonger l’expérience de l’audience autour de cet évènement majeur ? Quelles stratégies de déploiement multi-supports sont à l’oeuvre de la part des médias traditionnels ? Quelles opportunités de monétisation et quelles synergies médias/opérateurs émergent suite à l’ouverture du marché des jeux en ligne ?

Rendez-vous le vendredi 9 juillet à 19h00 à La Cantine pour débattre autour de ces thématiques en présence de :

  • Bertrand Horel, chercheur au Celsa (Université Paris IV)
  • Olivier Touillez, Responsable contenus sport nouveaux médias,CANAL+
  • Clément Guillot, directeur marketing L’Equipe.fr
  • Vincent Grynbaum, Directeur du développement AMAURY International
  • Vincent Courcelle, cofondateur de Beterz.com

Animation des débats par Fabrice Lacroix et Xavier Sauvignat (iDalgo).



IDALGOCréé en 2005, iDalgo (idalgo.fr) accompagne les plus grands médias francophones dans le développement de leur chaînes sports online et mobile. Partenaire de groupes tels que Canal+, France Télévisions, Rossel ou Sud-Ouest, iDalgo propose des informations sportives en temps réel, des outils d’édition pour les newsrooms et des web services clé en main et personnalisables.
Reconnu pour son expertise, iDalgo conseille les médias, agences et marques sur les stratégies d’exploitation des contenus sportifs (audio, vidéo, photos, texte…). En parallèle, iDalgo poursuit son développement international et travaillera dès septembre prochain avec des médias étrangers.

Inscription obligatoire sur Amiando

10
Juin

Sommes-nous prêts à payer pour l'information en ligne ? – Pablo Javier Boczkowski

Dans la vidéo ci-dessous, Pablo Javier Boczkowski nous explique que nos nouvelles habitudes de lecture expliquent en partie notre faible propension à payer pour l’information en ligne. Le chercheur Américain demeure sceptique quant à la possibilité de monétiser le contenu d’information générale sur le web. Il considère les fournisseurs d’information de niche et les agences de presse comme les seuls acteurs capables de tirer des revenus du marché digital.



« My sense is that given most people are looking at home pages and headlines, they click and they read the lead and the first paragraph , and then a little bit of the rest, I think most of that content is commodity content. It’s content that you can find in many sources. You just happen to go to the site that you trust the most or the site that routinely you have gone to. So what that means is that I don’t think that for this mode of consumption there is a strong argument for the proposition that people will pay for the news. Because as long as someone is providing the same commodity content for free, people will migrate to those sites rather than pay, even if the site implementing a paywall is your favorite site, people will go elsewhere.
[…]
So I think, despite the positive implications that this could have for the economic sustainability of things, this being the implementation of pay models, I am highly skeptical that they would work for general interest sites. They can work for financial news because people make money out of getting that information. They could work for specialty niche content. But I doubt that they would work, these pay strategies, for generalist sites.
[…]
What’s going to pay for journalism? Advertisement and other sources of revenue
. Most likely the industry will continue shrinking in terms of the size of the labor market, and probably even the pay structure, compensation structure will probably deflate a little bit. And some of the big players will get bigger. I do think the wire services have tremendous growth opportunity at the moment, and that’s why you see all the movement in the wire services sector. CNN tried to monetize its internal wire offering for the public. The merger of Thompson-Reuters, etc. Because these organizations have enough resources, enough scale, to provide a wide variety of news items that can be quickly scanned by people in the workplace. »

(Source : Sustainable Journalism)

RESEAUXMINI
Pablo Javier Boczkowski nous fera l’honneur de sa présence mercredi prochain (16 juin) à La Cantine lors d’une conférence organisée par le SMC consacrée au marché de l’information en ligne. Il interviendra aux côtés de Franck Rebillard, Eric Dagiral, Jean-Samuel Beuscart et des chercheurs ayant contribué à la dernière livrée de la revue Réseaux, « Presse en ligne ».
21
Avr

La conférence Corporate Strategy 2.0 du 14/04 en vidéo: avec Facebook, Paypal et Viadeo

CS22

CS2

[flashvideo file= »http://ubicast-thd.cdn02.rambla.be/lacantine/2010-04-14_18-24-20_5ebd80/high.mp4″ /]

Retrouvez la vidéo accompagnée des slides de la présentation sur la plateforme de contenus de La Cantine.

8
Avr

Facebook France sera présent le 14 avril à La Cantine lors la formation Corporate Strategy 2.0

FB LARGE

14h00 : Demi-journée de formation
Petit changement de programme concernant la demi-journée de formation du mercredi 14 avril prochain : l’atelier que Frédéric Prigent de Tradedoubler devait initialement animer sera finalement encadré par Facebook France, en la personne de Xavier Leclerc (Account Executive – Facebook France) qui nous expliquera comment optimiser l’impact et les revenus issus d’investissements marketing sur les réseaux sociaux. Comment développer des interactions pertinentes avec les utilisateurs des sites communautaires via une stratégie d' »engagement advertisement » ? Comment intégrer Facebook en tant que canal marketing pour se connecter et communiquer avec les 400 millions d’utilisateurs actifs de ce réseau social ?

18h00 : Conférence
Xavier Leclerc
interviendra également lors de la conférence de clôture à 18h00, animée par Laurent Dupin (co-fondateur LeWebLab.com) aux côtés de Gimena Diaz (Paypal) et Nicholas Vieuxloup (Viadeo).

Le programme complet de la demi-journée

workshop

Quelques places sont encore disponibles pour le workshop (ainsi que pour la conférence en fin de journée si vous ne pouvez vous libérez pour l’après-midi entière!) qui réunira trois des acteurs majeurs du web français (Viadeo, Paypal et donc Facebook), n’hésitez donc pas à vous inscrire (inscriptions ouvertes jusqu’au lundi 12 avril au soir).

29
Mar

[Formation] Recrutement, marketing et monétisation sur les réseaux sociaux (14/04) : derniers jours de réduction

wsSMC LARGE

Plus que 2 jours avant la fin de la réduction : 30€ jusqu’au 31 mars (50€ ensuite)

>>> S’inscrire

Objectif de la formation
Cette journée de formation vous fournira les clés pour mettre en place une stratégie efficace sur les médias sociaux, aussi bien en termes de recrutement et de fidélisation client que de valorisation de l’audience personnelle ou de monétisation des contenus en ligne.
Illustrés d’études de cas et des retour d’expériences des acteurs majeurs du secteur que sont Viadeo, Facebook et Paypal, les ateliers vous permettront de comprendre les leviers de création de valeur sur les réseaux sociaux et d’en tirer les enseignements en termes de communication, de marketing et de e-business.

Public visé
Responsables marketing, responsables de la communication, directeurs de la relation client, directeurs e-business/e-marketing, chefs de projets web, tous régulièrement confrontés à des problématiques d’utilisation des médias sociaux dans leur activité quotidienne et désireux d’échanger avec les acteurs majeurs du secteur afin d’implémenter une stratégie en ligne cohérente et efficace, selon leurs besoins spécifiques.

Le mercredi 14 avril 2010 à La Cantine.
Programme détaillé et inscriptions ici.