réseaux sociaux

25
Avr

Royal Marketing : zoom sur le dispositif social media de la Couronne #rw2011

royalwedding

Si la cérémonie du mariage du prince William et de Kate Middleton devrait drainer, tout autour du globe, quelque 2 milliards de personnes devant leur poste de télévision, leWall Street Journal estime à près de 400 millions le nombre d’individus qui suivront l’événement sur le web. Un chiffre impressionnant qui témoigne des nouvelles habitudes de consommation média d’une audience de plus en plus connectée.

La famille royale ne s’y est pas trompée. Elle a mis en place un important dispositif numérique afin de multiplier les points de contact avec son public, avant et pendant la cérémonie du 29 avril, notamment par le biais des médias sociaux. Le SMC a passé en revue cette stratégie avec l’aide de deux de ses membres. Lire la suite

20
Avr

SMCFaces #4 : Damien Douani – « FaDa Social Agency »



« Les médias sociaux ont prouvé qu’ils n’étaient pas des gadgets, et les entreprises s’y sont intéressés. Pour une raison simple : elles peuvent entrer en conversation avec les consommateurs, et leur écosystème. Mais aussi parce que leurs salariés utilisent ces réseaux sociaux, tous les jours, à titre personnel. J’aimerais avoir la même efficacité , la même facilité de partage de l’information dans l’entreprise.»

Damien Douani, co-fondateur de FaDa Social Agency nous parle de l’introduction du digital dans le monde des entreprises, des opportunités offertes par la géolocalisation et partage avec nous sa vision de l’avenir des réseaux sociaux : la complicité sociale.

Quatrième volet d’une série d’interviews vidéo de nos membres, SMCFaces.


SMCfaces
14
Avr

SMCFaces #3 : Grégory Nicolaidis – « welovewords.com »


« Chez nous les auteurs ont une page, peuvent se présenter, mettre en avant leurs contenus, leurs origines, leurs amis, mais également être mis en relation avec les industries créatives. Cela permettra aux auteurs de trouver leur place sur le net, réconcilier le 19ème et 21ème siècle, pour profiter des nouvelles technologies. »
Gregory Nicolaidis, fondateur du premier réseau social destiné aux auteurs «www.welovewords.com», nous parle de la promotion et diffusion des auteurs à travers les réseaux sociaux. Un interview de Gregory Nicolaidis, par le Social Media Club France.
Troisième volet d’une série d’interviews vidéo de nos membres, SMCFaces.

« Chez nous les auteurs ont une page, peuvent se présenter, mettre en avant leurs contenus, leurs origines, leurs amis, mais également être mis en relation avec les industries créatives. Cela permettra aux auteurs de trouver leur place sur le net, réconcilier le 19ème et 21ème siècle, pour profiter des nouvelles technologies. »

Grégory Nicolaidis, fondateur du premier réseau social destiné aux auteurs «www.welovewords.com» nous parle de la promotion et de la diffusion des auteurs à travers les réseaux sociaux. Une interview de Gregory Nicolaidis, par le Social Media Club France.

Troisième volet d’une série d’interviews vidéo de nos membres, SMCFaces.


SMCfaces

5
Avr

Réseaux sociaux et « révolutions arabes », par Chem Assayag

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On a beaucoup parlé des réseaux sociaux lors des « révolutions arabes » ; on sentait même chez certains la tentation de parler de « révolution Facebook » ou de « révolution Twitter ». Pour des raisons que je vais développer tout ceci paraît un peu excessif.
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4
Avr

Social Media and the Arts, conference summary

In the conference this Tuesday, March 22, Social Media Club France addressed the effects that the emergence of social media had on modern artistic practices. Contrary to what some may think, the triumph of the digital world did not stifle the artists’ creativity, but rather served as an inspiration for new forms of artistic expression.  Lire la suite

25
Mar

Interview Elliot Lepers : « De l'oeuvre artistique personnelle à l'oeuvre artistique collective »

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18
Mar

[Compte rendu] Réseaux sociaux et pratiques artistiques

Le Social Media Club France s’est penché hier soir sur la question de la pratique artistique dans le cadre des réseaux sociaux. Il s’agissait de dépasser notre domaine de réflexion traditionnel. La dimension professionnelle du digital ne doit en effet pas éclipser sa dimension artistique, si il y a LinkedIn pour les professionnels, il y a aussi DeviantArt pour les artistes, nous rappelait Bertrand Horel dans son introduction de la séance.

Les pratiques artistiques existantes se déplacent progressivement sur le média digital en le prenant à la fois comme un moyen de promotion des oeuvres mais aussi comme objet même de la pratique artistique, comme matière créative.

Emmanuel Mahé, chercheur en sciences de l’information et de la communication, spécialiste des rapports entre innovation technique et arts numériques, publiant sur le blog http://decalab.blog.lemonde.fr/, a ouvert la discussion par un propos introductif soulignant la fibre innovante des artistes. Pour lui, l’artiste anticipe les usages sociaux des dispositifs techniques qui l’entourent en les détournant avant l’heure. Les artistes ont en eux les germes de l’innovation, ils s’approprient la technique et la technologie en les enrichissant. Il faut voir l’art comme de l’anticipation et donc comme potentielle matière pour la R&D et les industries.

Références :

>> L’Homme à la Caméra (1929) de Dziga Vertov développe la théorie de l’œil caméra. Il faut voir cette œuvre comme une préfiguration et une mise en scène des pratiques de vidéosurveillance et de reconnaissance des formes contemporaines.



cube n°8 Piotr Kowalsk>> Cube n°8 présenté en 1967 par Piotr Kowalski comprend un système de capteurs de mouvement pour constituer une œuvre qui évolue en fonction de la position du spectateur. Cette installation propose une forme radicale qui questionne la technologie et préfigure l’innovation.


Nam June Paik Violoncelle>> L’œuvre de Nam June Paik dans les années 1960 et 1970 est très significative en terme d’usages. La vidéo est ici un élément moteur dans la pratique artistique. L’artiste a ici inventé un dispositif : un violoncelle qui film la scène, jouant ainsi de la multiplicité des points de vue. Par ce travail, Nam June Paik a inventé le synthétiseur vidéo, que l’on retrouve quelques années plus tard dans les clips musicaux et préfigure les interfaces tactiles d’aujourd’hui.


>> En installant des caméras dans la ville, Allan Kaprow met en scène les forums et les chats que nous connaissons aujourd’hui. Il a créé un réseau de vidéos en permettant aux passants de communiquer entre eux à distance et en direct, brisant ainsi les modes de diffusion classiques de la télévision où l’émetteur s’adresse à une masse. Ici, émetteur et récepteur agissent au même niveau, comme sur un forum, comme sur les réseaux sociaux. L’artiste, dans sa volonté de briser des codes préfigure des pratiques qui seront légion des décennies plus tard. Pour plus de détails, consulter, L’Art en Réseau : du net-art à la participation à une œuvre collaborative en ligne http://www.maisonpop.net/IMG/reseau2-2.pdf


SMS Guerilla par Stroika>> SMS Guerilla par le collectif Stroika en 2002 était un dispositif servant à projeter des SMS dans l’espace public. Quelques années plus tard, Texas Instruments reprend le concept en concevant un mobile intégrant un vidéoprojecteur.





Le travail du collectif Stroika a aussi inspiré faberNovel qui s’en est servi dans un cadre professionnel afin de repenser les méthodes de travail. Il s’agissait de projeter des SMS durant les réunions.


Aujourd’hui, ces pratiques ont donné naissance à la conception d’interfaces intangibles pour les claviers de mobiles mais aussi à la réalité augmentée constituée de formes qui réagissent à l’environnement. à The Augmented Sculpture Project de Pablo Valbuena :



Le réseau devient un moteur de création, la R&D devient de la R&C (recherche et création).


Elliott Lepers, présentateur de la web-émission L’œil de Links qui s’intéresse à la création émergente sur internet où le réseau est à la fois matière créative et vecteur de diffusion. D’autre part, avec les nouvelles plateformes de diffusion telles que Youtube, de nouvelles sources de financement de l’art émergent.

En revanche, l’art véhiculé par les réseaux sociaux devient une forme mutante, constamment remixée et réutilisée si bien que parfois, l’on tend à s’éloigner de l’art à proprement parler (voir à ce titre le folklore digital).

Les détournements sont légion sur le web et le braconnage des usages fait ainsi office d’inspiration pour les pratiques artistiques.

Références :

>> Merton, en improvisant sur Chatroulette a transposé la figure de l’artiste de rue sur le réseau.



>> Attack of the Moon Robot, casting de cinéma sur Chatroulette, est un autre exemple de transposition des pratiques artistiques sur le réseau, dans un esprit décalé.



>> Eric Whitacre a quant à lui constitué une chorale qu’il dirigeait à partir d’une video Youtube.




>> Bicycle Built for 2000 d’Aaron Koblin, figure majeure du net-art, demande à des internautes de chanter une note pour ensuite constituer une œuvre audio à part entière.

>> The Johnny Cash Project, consiste à réaliser un clip à partir de contributions de différents artistes.

>> Star Wars Uncut propose à chacun de refaire des scènes de la saga avec ses propres moyens.

>> Global String d’Atau Tanaka est une expérience de musique en réseau où le son varie en fonction de la caisse de résonnance du réseau.

Il y a ainsi des appropriations du réseau et des outils de mise en réseau pour l’élaboration d’œuvres. La création de nouvelles formes est la force du réseau. Mais François Berthier remarque que trop souvent, l’installation artistique devient plus importante que l’œuvre en elle-même. L’attention se focalise sur la forme plus que sur le fond.

Tous ces exemples montrent néanmoins que le net-artiste est aujourd’hui aussi un développeur, un technicien qui sait manipuler son environnement communicationnel pour le détourner. En revanche, dans les écoles d’art, peu de formations ouvrent les étudiants à ces nouvelles pratiques. Il n’y a que peu de connaissance sur le cœur même de l’internet.



François Berthier, photographe professionnel a lui utilisé le réseau pour établir sa pratique professionnelle. La conception du photographe dans les imaginaires est en train de se déplacer. Le photographe est bon si il sait se servir du réseau. Au départ, François Berthier s’est servi de Myspace pour se constituer un réseau et pratiquer son art. Le réseau facilite en effet les rapports, ouvre aux appréciations, il brise l’inhibition, rend plus facile le contact mais rend surtout la comparaison et la concurrence plus visibles.

En fonction du statut du photographe, la présence sur tel ou tel réseau fait sens et contribue à l’identification du photographe. La crédibilité se fait en fonction du réseau choisi et les professionnels migrent régulièrement. « La professionnalisation c’est sortir du réseau » et ce qui reste malgré tout très important, c’est de se constituer un réseau physique.



Arbia Smirti, fondatrice de Carnet de Mode, est intervenue en fin de séance : Carnet de mode est un service de crowdfunding pour le prêt à porter haut de gamme. C’est de l’investissement en faisant du shopping : il faut atteindre un certain nombre d’achat pour commercialiser le produit. Les pièces à succès sont mises en vente et les premières acheteuses bénéficient alors d’un retour sur investissement. Les gens qui participent anticipent un futur succès.

Ici, il y a la constitution d’une conversation entre le créateur et les fans, un réseau social centré sur la création.

3
Nov

Le Livre Blanc 2010 du Social Media Club France

Comme nous vous l’annoncions la semaine dernière sur ReadWrite Web, le livre blanc 2010 du SMC est désormais disponible en ligne. Il vient synthétiser les résultats et découvertes de la saison écoulée, afin de partager librement le savoir échangé et enrichi par nos principaux membres actifs durant nos rencontres.

Plus d’infos et accès au document complet par ici. Bonne lecture!

7
Mai

« Les citoyens connectés », un atelier du Social Media Club France le 21 mai prochain à l'occasion de Web Diversity 2010

Alban Martin, cofondateur du Social Media Club France, animera un atelier le 21 mai prochain à 11h30 à la Maison des Métallos, à l’occasion de la journée de conférences Web Diversity 2010, organisée par l’association Internet Sans Frontières en partenariat avec le SMC France.

« Les citoyens connectés : les outils au service de l’action citoyenne et militante »

L’explosion des médias sociaux et des outils de publication personnelle ont donné à des citoyens ordinaires les moyens, au moins potentiellement, de participer au débat dans l’espace public. Les technologies, par le biais de la mise à disposition d’outils d’expression, de communication mobile , de partage et de mobilisation en ligne , participent donc d’un « empowerment des citoyens » et d’un renouvellement des répertoires d’action politique et associative.
Les 3 intervenants aborderont donc les enjeux de cet activisme en ligne et les outils sur lesquels reposent ces nouveaux modes d’engagement sur les réseaux web et mobiles.

Alban Martin, co-fondateur du Social Media Club France, animera les débats en présence de :

Tangui Morlier
Co-fondateur du collectif Regardscitoyens.org

Olivier Blondeau
Consultant en communication politique, docteur de l’IEP de Paris

coauteur avec Laurence Allard de l’ouvrage « Devenir média. L’activisme sur Internet entre défection et expérimentation » (Éd. Amsterdam, 2007)

Laurence Allard
Maître de Conférence en sciences de la communication à l’Université Lille 3

auteure de Mythologie du Portable (Éd. Le Cavalier Bleu, 2010)

Plus d’infos sur la journée :

A l’occasion de la Journée mondiale de l’Unesco de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement, l’association Internet Sans Frontière et la Maison des Métallos organisent la première édition de « Web Diversity », une Conférence sur la liberté d’expression sur internet, et les nouvelles formes de journalisme.   Une journée pour débattre et échanger à partir d’expériences concrètes, pour prendre la mesure des enjeux liés à la liberté d’expression sur Internet et à la lutte contre la fracture numérique dans la vie des citoyens du monde.

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Le 21 mai 2010  de 9h00 à 17h00 A la Maison des Métallos 94, rue Jean-Pierre Timbaud 75011 Paris

Destinée au grand public,  aux journalistes et médias, aux entreprises citoyennes, aux acteurs de l’Internet, aux élus, aux acteurs publics, aux étudiants, aux universitaires, aux Ongs travaillant sur les questions liées aux Droits de l’Homme.

Cet événement est organisé par l’association Internet Sans Frontières et la Maison des Métallos, Etablissement Culturel de la Ville de Paris, en partenariat avec Médiapart.fr, Solidaires du Monde, le Social Media Club France, l’Agence Mondiale de la Solidarité Numérique, Reporters Sans Frontières, le Club Avvéroes, Alcatel-Lucent, France 24, l’Atelier des Médias/RFI, Wmaker, Internews Europe, Silicon Sentier, l’Internet Society France (Isoc France).

Avec  (à ce jour) :
Edwy Plenel, Médiapart, Pierre Puchot, Mediapart, William Bourdon, avocat et fondateur de Sherpa, Jérémie Zimmerman, la Quadrature du Net, Olivier Iteanu, Internet Society France, Lucie Morrillon,  Reporters Sans Frontières, Julien Pain, Les Observateurs France 24, Laurent Giacobino, Internews Europe, Elsa Caternet, Internews Europe, Jean Pouly, Agence Mondiale de Solidarité Numérique, Nadia Mordelet, Alcatel-Lucent, Jean-Patrick Ehouman, Akendewa/Barcamp Abidjan, Yves Miezan-Ezo, Internet Society France, Christophe Ginisty, Internet Sans Frontières, Alban Martin, Social Media Club France, Olivier Blondeau, Consultant en communication politique, Laurence Allard, Maître de Conférence en Sciences de la communication Université de Lille 3, Tangui Morlier, Regardscitoyens, Arache Djannati-Atai, Move4Iran, Guillaume Desnoes, AiderDonner, Nathan Stern, Peuplades…

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Les thèmes abordés au cours de cette journée seront les suivants :

  • Internet, et l’enjeu démocratique,
  • Internet, un nouveau monde. Mais quelles nouvelles règles ?
  • La lutte contre la fracture numérique dans le monde, préalable à la liberté d’expression
  • Les citoyens connectés : les outils au service de l’action citoyenne et militante
  • Le Web 2.0 au service de la solidarité
  • Vivre avec la censure
  • Vers une déclaration universelle des droits des internautes ?

A cette occasion, l’Atelier des médias de RFI (Radio France Internationale) délocalisera exceptionnellement son studio d’enregistrement, et animera son émission hebdomadaire sur place, depuis le bar-mezzanine de la Maison des Métallos.

Entrée : 13 €
Inscription et réservation en ligne.

Restés connectés sur Facebook et Twitter.

Retrouvez toutes les informations pratiques sur le blog : www.webdiversity2010.org

21
Avr

La conférence Corporate Strategy 2.0 du 14/04 en vidéo: avec Facebook, Paypal et Viadeo

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CS2

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Retrouvez la vidéo accompagnée des slides de la présentation sur la plateforme de contenus de La Cantine.