innovation

22
Avr

Patrimoine & nouveaux publics [Musées in, Musées out]

En 2013, le Social Media Club Marseille lance un cycle Culture & medias sociaux hors les murs.

Pour ce premier rendez-vous, il s’invite au Pavillon M* ce lundi 22 avril à 15h !
*Le numérique se donne en spectacle, organisé par le Conseil général des Bouches-du-Rhône

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29
Mar

Economie numérique : Internet change le monde, mais quoi au juste ?

Autour de 2007, le numérique avait réussi cet exploit de se fâcher avec l’écologie et d’apparaître comme une source de gaspillages alors qu’il recèle pléthore du contraire. En 2012, va-t-il paraître comme une menace, une source de destruction des emplois et de l’économie, là où d’aucuns pensent qu’il soit celui d’une nouvelle ère de progrès socio-économique sinon plus ? Tel est l’enjeu d’un débat de fond qui passe relativement inaperçu à mon goût, mais dont je pense que la vibration doit nous réveiller tous.

Il est loin le rapport sur l’économie numérique qui avait bousculé les certitudes de nombreux politiques français il y a un peu plus d’un an, de même que les envolées sur les 232 000 emplois de l’économie Facebook en Europe sont restées dans le microcosme. Pendant que l’on partage des infographies, Courrier International reprend un article long et documenté du New York Times, sur lequel InternetActu a également rebondit et, hier, c’est dans l’Usine Nouvelle que l’on trouve un autre signal sur le même thème.

Le progrès n’est pas une certitude pour tout le monde

Pendant que le microcosme digital se cherche un poids en terme de lobby, que le Conseil National du Numérique ou  Renaissance Numérique tentent de peser un peu plus et de nous sortir de notre petit monde où l’on est si perclus de certitudes que demain sera génial, le reste du monde ne pense pas pareil. Il se dit, donc que le numérique détruit des marchés et la valeur capitalistique et sociale qui étaient dedans, et ne remplacerait pas numériquement les emplois et les positions perdues. Bref, le numérique ou le parangon de la décroissance. En arrière-plan pointe le spectre de la globalisation et de ses méfaits affirmés, la nostalgie d’une France et d’un occident industriel disparaissant, sans parler de ses masses laborieuses. Certains diront qu’on lit cela depuis longtemps. Moi je dis qu’on le lit de plus en plus souvent et sous la plume de journalistes et d’experts influents qui ne viennent pas du monde numérique, et qui sont au contraire les relais d’opinion et d’affirmation de nos convictions qu’il faudrait coaliser au numérique. En clair, ne sommes-nous pas en train de perdre une bataille importante pour faire de l’économie numérique l’opportunité de croissance et de progrès dont nous sommes convaincus ?

Chez Emakina et plus encore pour moi, le militantisme de l’Internet est chevillé au corps. Nous croyons fermement que nous travaillons à changer le monde pour qu’il soit meilleur. Mais je sais aussi que l’échec se nourrit de la certitude d’avoir raisons et que les autres ont tort, que les faits donneront raison quoi qu’il advienne et qu’il ne faut pas lutter. Donc, luttons.

Le numérique est donc sur la sellette. Il a détruit des marchés : c’est un fait. Il est exact qu’il n’y a plus dans nos rues de loueurs de DVD, de développeurs de pellicules photos et j’en passe. J’entends bien le désarroi de commerçants traditionnels qui voient internet comme une menace, constatant que leurs clients leurs préfèrent de l’e-commerce. Et je ne parle pas du front ouvert sur le secteur culturel. Vous avez tous entendu comme moi ce qui s’est dit autour du salon du Livre ces derniers jours et j’espère que l’offensive anti-Amazon à laquelle on a assisté vous a fait lever une oreille. On n’en a que trop peu parlé. Enfin, ce postulat comme quoi le  numérique ne remplace pas les emplois qu’il détruit et que cette économie nous condamne à des sociétés de oisifs sinon de chômeurs s’installe. Vous croyez que je caricature ? Vous devriez vous réveiller.

Les marchés sont mortels

Je pense profondément qu’à la source de tout cela, il y a de mauvais postulats et une lecture biaisée. La principale erreur, selon moi, est de croire que le monde et plus particulièrement la structure de l’économie seraient définitivement figés depuis 1950. Ainsi, et à titre d’exemple, sur le front de la musique, le sujet a longtemps été la baisse des ventes de disques. Comme si le disque devait être un produit éternel, une sorte de rente garantie, et qu’il ne faille pas considérer que les consommateurs puissent décider de dépenser leur argent sur tout autre chose, qu’il soit postulé que l’achat de musique soit un marché éternel et promis à se maintenir et croître.

Je crois que le numérique, après une demi-décennie de croissance et une certaine stabilité de la structure des marchés, est venu rappeler que ceux-ci sont mortels comme le reste, et que, somme-toute, le monde moderne dans lequel nous vivons n’est pas plus vieux qu’une poignée de génération humaines. Il y a là-dedans, je crois, une forme de mythologie d’une période dorée tournant autour des années 70, avec de la nostalgie et du rejet qu’un autre monde est possible. Pire : qu’il soit meilleur.

Je pense qu’il y a un grand mépris des citoyens et des consommateurs, car ce sont eux qui tuent les marchés et non le numérique. Ce sont eux qui décident de mettre leur argent où ils veulent. Il y a, je pense, un atterrissage douloureux d’après 2011 et des révolutions arabes, prétendument numériques, dans la confusion entre le moyen et la fin, dans ce que cela a révélé du fait que le numérique servait à des choses beaucoup plus importantes que des futilités de gamins. Révolution silencieuse.

Donc : oui des marchés et des entreprises disparaissent. L’argent va ailleurs et l’économie change. Rien n’est éternel.

« Monsieur le Président, ces emplois ne reviendront jamais »

Telle est la fameuse réponse de Steve Jobs à la question du Président Obama à propos des lignes de production asiatiques des produits de la marque à la pomme. Il faut relire le papier du New York Times, avec ce qu’il brise de certitudes liées aux bas coûts notamment, pointant la flexibilité et la force de frappe des clusters industriels type Foxconn. Sommes-nous capables de créer des choses comme ça, avec ce que cela veut dire en termes de masse critique densifiant formation, recherche appliquée, et tissu industriel dense. Est-ce possible ? Combien de temps faut-il ? Cette Chine là ne s’est pas faite en un jour ! Et le choix de ne plus fabriquer comme il y a trente ans, nos sociétés l’on fait.

Il faut lire les problèmes de l’industrie automobile américaine qui peine à trouver des ajusteurs compétents. Il faut lire et comprendre que le monde moderne est fait de vitesse et que c’est celle-ci qui gouverne plus que tout les décisions, bien plus que les coûts. C’est d’ailleurs bien la vitesse, le « time to market » qui conduit à des relocalisations dont on se fait de fausses idées. En restant figé dans la mythologie de l’usine et de notre passé industriel, on ne voit pas l’économie que nous avons construit. On ne voit pas que la culture et la créativité en sont les piliers fondamentaux. Et par passéisme, on les sape d’ailleurs, ce que je trouve suicida
ire et incroyable. Heureusement que la société et l’économie se fabriquent dans l’intangible car nous les aurions sans doute déjà détruites.

Mes interlocuteurs sont souvent surpris de me voir utiliser une sémantique « traditionnelle » pour parler de nos métiers, pour parler d’une concrétisation de l’intangible. Quand je leur fais visiter la « production », quand je leur dis que l’on « fabrique », « usine », qu’un tel fait des « finitions », que l’on « assemble », et tutti quanti, ils sont interpellés, mais ils ont bien sous les yeux des gens au travail. Les métiers du numérique sont de vrais emplois, aussi nobles que les autres. Faudra-t-il inscrire l’intégration html au concours des meilleurs ouvriers de France ? Que doit-on faire pour que l’économie des services soit reconnue à sa juste valeur ?

Donc : oui les usines ferment et oui les emplois d’aujourd’hui sont déjà différents. Ce n’est pas parce que ce que je produis est intangible que cela n’en a pas une grande valeur. Notre culture est notre force et comme il est très bien souligné dans la conclusion de Hubert Guillaud, la vraie question est la capacité de nos sociétés à former des gens qui déploient tous leurs talents grâce à l’éducation et l’esprit d’entreprendre, au premier sens du terme.

Les économies modernes sont des écosystèmes

Apple et sa capitalisation boursière versus le nombre de ses employés est un mode d’appréciation dépassé. Il faut le laisser au XXe siècle où il avait cours. Il est obsolète.

Sans rapport à sa capitalisation prochaine, Facebook est une PME et son économie ne peut être jugée à l’aune du seul poids de cette seule entreprise. Elle doit se juger à l’aune de l’activité et des centaines de milliers d’entreprises et d’emplois qui se créent et se développent dessus. Il faut sortir de notre tête l’idée de méga-multinationales avec des divisions de travailleurs. Nos économies modernes sont plutôt des réseaux d’acteurs petits et pas très grands. L’économie moderne est une pyramide inversée, pas une pyramide classique. Apple, comme Facebook et comme nombre d’acteurs du numérique ne créent pas des produits et des services, mais des marchés. Des marchés qui naissent, grandissent et meurent assez vite pour qu’on n’ait pas l’envie de les voir éternels. L’économie moderne est un écosystème en évolution permanente. Lui appliquer la grille de lecture de l’économie du XXe siècle est une faute.

En septembre 2005, j’avais écris le net est invisible. J’avais fait part de mon inquiétude à ce que le numérique ne soit pas dans les chiffres. Six ans et demi plus tard, nous ne sommes pas plus avancés. Il est sérieusement temps de se bouger pour dégager des études tangibles, des observatoires, et dépasser le stade d’infographies fort sympathiques mais qui ne tiennent pas la distance d’un travail de chercheur ou de statisticien de l’INSEE.

La perception des choses compte. Elle induit de fausses idées sur la nécessaire tangibilité des choses, elle nous empêche de nous projeter dans l’avenir, de voir le changement en termes d’opportunités et non de menaces, de faire ce qu’il faut quand il le faut, sans nostalgie et sans rejet de ce que nous sommes culturellement et en valeur par ailleurs, d’être en mouvement.

On ne peut plus changer le début de l’histoire, mais on peut encore en écrire la fin, il faut juste prendre conscience que l’histoire est en marche.

 

Cet article est initialement paru sur le blog de Emakina.fr

19
Nov

L'après Social Media : nouveaux enjeux ou repli ?

La révolution globale des usages et de la communication autour des plateformes « sociales » se développe, au fur et à mesure de la réputation des outils, des évolutions technologiques, du buzz et de la nouvelle appropriation de ceux-ci, par la « société civile, politique et économique ». Nous avons vu, lors de nombreuses conférences, rapports et débats, la découverte, les interrogations, les peurs aussi et les énormes opportunités que cette dynamique recèle et, pour le coup, sur un plan à peu près égalitaire, dès lors qu’on a réglé le problème de l’accès au « numérique ». Nous pourrions d’ailleurs illustrer très facilement les impacts récents lors du printemps Arabe, de ces nouveaux moyens d’expression, dangereux pour les uns (leaks), indispensables pour les autres (e-démocratie). Comment ignorer désormais l’impact colossal, rendu possible par des anonymes et parfois insignifiants individus, qui vont pourtant faire trembler les pouvoirs et équilibres en place ? La récente erreur et la rapidité de propagation de la fuite sur la notation financière de la France en a fait tomber plus d’un… Et aujourd’hui, la consommation passive, comme on pourrait l’appeler, s’est démodée : parce qu’on prend conseil à travers le social commerce, parce qu’on donne son avis, on modifie l’offre, le service… un monde où la création émane de tout le monde, chacun apportant sa petite touche collaborative.

Mais c’est ce que souhaitait l’ensemble du monde « démocratique », profitant d’une liberté d’expression de fait, pour assaisonner tous azimuts et sur tous les sujets. La révolution consumériste, bousculant les marques, les produits, les process, a pris de court, l’ensemble des organisations concernées. Que cela soit les services clients, le marketing, les partis politiques (qui se sont bien rattrapés depuis…) et le vent de besoin d’expression ultime, l’utilisation du media social, media « dont on détermine qu’il n’est plus à personne et pourtant à tout le monde » a décuplé l’innovation, la révolte et le progrès. Circulation de l’information, accès à la connaissance, mutation d’industries entières, nous voyons les effets d’un phénomène dont personne ne sait vraiment où il va s’arrêter et l’avantage global, au bout du compte. Mais le temps est sans doute à la consolidation…

Je me suis par conséquent imaginé, un instant, la nécessité de faire un tri et d’essayer de dresser un état des lieux, à date, de l’impact du social media et tenter de se projeter selon deux schémas : le développement ou le repli ?

Il est un fait que sous l’impact des médias sociaux, plusieurs phénomènes majeurs ont bouleversé le paysage des relations, de la communication et des échanges :

  • une plus grande transparence, plus grande « démocratie » et un accès plutôt égalitaire devant l’information et la capacité à réagir et à participer
  • des capacités de loisirs, de mise en relation, mais aussi de perte de temps colossales
  • une plus grande interactivité entre les grands ensembles : compagnies, clients, partenaires, associés, fournisseurs, organisations, employés, milieux familiaux, éducation, administration…
  • une modification importante, voire physiologique, à terme du comportement humain : écriture « déformée », mémoire très volatile puisqu’on a « tout sous la main, tout le temps, au bout de son smartphone »
  • mais aussi une énorme pollution dans l’information justement (à travers certes une dématérialisation et dérégulation du métier dit de « journaliste », permettant de canaliser l’information – juste ? – jusque là….)
1) Le développement : la poursuite d’un mouvement global et mondial permettant de capitaliser sur l’innovation collaborative, ou plus simplement « le résultat à tous niveaux, secteurs, rangs du travail organisé autour de thèmes, goûts, sujets qui fédèrent l’envie, la motivation – gratuite -« , bref le seul fait de faire participer et s’impliquer du monde, sans avoir a priori été sollicité… » ; et de là, en tirer la meilleure organisation visant à :
  • organiser, filtrer (sans censurer !) et optimiser la production à travers les médias sociaux
  • faire émerger des outils professionnels, reconnus de référence (comme des packs « bureautique » dont plus personne ne nie l’utilité…)
  • officialiser la filière là encore en « professionnalisant » celle-ci : éducation, formation, législation…
  • crédibiliser le contenu collaboratif, en le certifiant et en inventant de nouvelles filières, de référents…
En écrivant ça, je me dis que nous nous dirigeons tout droit vers une « normalisation » de ce qui ne peut ou ne doit pas l’être, si l’on ne veut pas perdre l’énergie pure et créative du mouvement des médias sociaux… Alors comment imaginer à la fois une « taylorisation », sans perdre l’innocence et la transparence du modèle ?

Des initiatives comme le e-G8, en mai en France et le désormais célèbre CNN, « think-tank » du numérique, chargé par le gouvernement d’explorer ce vaste domaine sont des entités intéressantes pour débattre du « fond » et de l’environnement nécessaire, pour développer ce que l’on appellera « L’Internet » et ses risques/opportunités, dans le vaste marché du commerce et des échanges mondiaux. Mais, là encore, des débats frontaux ont eu lieu entre la création et la consommation, facilitée par le piratage et les effets de bord d’un Internet puissant mais plein de failles… Un sujet réel qui risque d’aboutir à la fin du web tel que nous le connaissons…

Fournir des pistes, solidifier les règles et les contours, rendre confiant les utilisateurs et les marques, générer un code de conduite, professionnaliser et fédérer la modération pour qu’elle devienne un vrai métier reconnu, plusieurs clefs pour un même objectif : préparer la vague de consolidation du social media de demain et en intégrer l’efficacité au sein de l’appareil économique et social.

2) le repli : repli généré par le « ras-le-bol » de trop d’information, trop vite, trop dense, par tout le monde et n’importe qui, tout le temps.

Après avoir subi l’assaut de toute communication, les marques, les réseaux, les timelines peuvent être largement dépassées par le trafic, le bruit et la pollution, générant un effet inverse au crowd sourcing, mais dans tous les cas, impossible d’effacer les changements de fond produits sur tous les secteurs et comportements :

  • changement dans la communication
  • changement dans le sourcing : information, formation, connaissance, ressources -humaines, produits, idées…-, innovation et même comportements et niveau d’exigence du consommateur ; un effet de cliquet, qui restera l’époque du tsunami « social web »…
  • changements technologiques : réseaux, stockage, disponibilité, service levels et historisation
  • aspects risques : sécurité informatique et convergence, mobilité, réputation en ligne et détournements…
  • effets de bord orchestrés par des gens peu scrupuleux, visant à faire courir des bruits et le faire amplifier

Pour toutes ces raisons, il peut y avoir un « cessez-le-feu » dans l’amour porté aux médias sociaux, la fréquentation et l’audience, parce comme partout « trop c’est trop ». On peut d’ailleurs largement repérer les cycles de l’économie, qui après la quantité, se concentrent sur le tri et la qualité. Les agrégateurs web, le « content curation« , les « verified accounts« , ne sont-ils pas déjà des phénomènes de réassurance, visant à classer, ordonner, fiabiliser la masse de contenus échangés et commentés ? N’est-il pas c’est vrai nécessaire parfois, d’accorder moins d’importance au flux d’informations, quand elles sont vraies, alors qu’elles sont reprises et ré-amplifiées (trop ?) par une communauté en ligne qui grandit chaque jour ? Une entreprise économique, même si elle accorde du crédit au travail collaboratif, ne peut durablement écouter mille sources pour naviguer, réagir et construire dans la durée une stratégie fiable et surtout protégée des yeux de la concurrence ? Comment tout exposer sans rendre caduque toute innovation, immédiatement ?

On voit donc très facilement les failles et le risque d’abandon d’un dialogue réellement efficace, sur les médias sociaux.

Malgré tous les changements apparus, si il ne reste que les ruines d’une « mode », quel gâchis pour une si belle innovation…le retour de marques hégémoniques, qui auront fait semblant d’écouter et qui se rangeront aux habituelles manières, centrées sur elles, pour reprendre le pouvoir et la parole. En effet, même si certaines expériences ont vu le jour (B&You), ont-elles vraiment l’envie et les moyens d’aller plus loin que du « social dressing », pour surfer sur l’actualité ?

En tous cas ce sujet passionnant aura fait couler beaucoup d’encre et aura transformé énormément de comportements. Souhaitons qu’il procure de nouvelles histoires à écrire, de nouveaux emplois et de nouvelles dynamiques qui créeront les « success stories » de demain.

29
Nov

[SMC Lounge] The Innovative Global Village, le 7 décembre 2010

SMCLounge

Le mardi 7 décembre, le Social Media Club organise un après-midi d’échanges et de rencontres avec les acteurs de l’innovation et des médias sociaux Français et Américains, en partenariat avec af83média et Readwriteweb.
Dans les studios de Webcastory aura lieu un « marathon talk show » de plus de 7h, diffusé en live, où journalistes, blogueurs et VIP seront invités à participer à une multitude de conversations et à des débats passionnés : Musique, culture & Internet, The future of blogging, NetArt: meet the creators, Online activism, Pitch Party for startups… la plupart des invités étant anglophones, les débats auront lieu en anglais et seront diffusés au public américain (via notre partenaire média ReadWriteWeb US).
Parralèlement au talk-show, Webcastory mettra à disposition des médias, journalistes et blogueurs un studio équipé pour réaliser leurs interviews des invités et VIP.
Ils nous ont déjà confirmé leur venue: Matt Mullenweb (WordPress), Jonathan Benassaya (Deezer), Pierre Bellanger (Skyrock), Peter Crosby (Viadeo), Tara Hunt (The Whuffie Factor), Patrick Chanezon (Google), Raphaël Labbé (OpenCoffeeClub Paris), Stéphane Distinguin (PINk), Miguel Galera (ReadWriteWeb Espana), Fabrice Epelboin (ReadWriteWeb France), Frederic Lardinois (Readwriteweb US), Stephanie Booth (climbtothestars.org), Olivier Desmoulin (Super-Marmite), Jeremiah Owyang (Altimeter Group), Paul Papadimitriou (Constellation Research), Patrice Lamothe (Pearltrees), Ariel Garten (Interaxon), Rynda Laurel (AF83inc), Robert Scoble (scobleizer), Jennifer Schenker (Informilo), Michael Schneider et Matthieu Gazier (Mobile Roadie), Michelle Blanc (Analyweb inc.), Roxanne Varza (Techcrunch), Axel Cateland (YooCasa), Ida Rose Sylvester (Silicon Valley Link), Franck Tournadour (Playlive.fm)…
le programme sera bientôt finalisé, vous pouvez encore participer  à la conception éditoriale du talkshow à venir en vous inscrivant sur la plateforme Techtoc.tv.

Le mardi 7 décembre prochain, le Social Media Club, avec le soutien de ViadeoPaypal, PINk et Imaginatio, organise un déjeuner et un après-midi d’échanges et de rencontres avec les acteurs de l’innovation et des médias sociaux Français et Américains. L’évènement est organisé en partenariat avec af83média et Readwriteweb.

Dans les studios de Webcastory aura lieu un « marathon talk show » de plus de 7h, diffusé en live sur Agoroom.com, où journalistes, blogueurs et VIP seront invités à participer à une multitude de conversations et à des débats passionnés : Musique, culture & Internet, The future of blogging, NetArt: meet the creators, Online activism, Pitch Party for startups… la plupart des invités étant anglophones, les débats auront lieu en anglais et seront ainsi diffusés au public américain.

Parralèlement au talk-show, Webcastory mettra à disposition des médias, journalistes et blogueurs un studio équipé pour réaliser leurs interviews des invités et VIP.

lumieres

La brochure de l’évènement est disponible au format PDF, ainsi que le communiqué de presse de l’évènement.

>>> Ils nous ont déjà confirmé leur venue :

Matt Mullenweb (WordPress), Jonathan Benassaya (Deezer), Pierre Bellanger (Skyrock), Peter Crosby (Viadeo), Tara Hunt (The Whuffie Factor), Patrick Chanezon (Google), Raphaël Labbé (OpenCoffeeClub Paris), Stéphane Distinguin (PINk), Miguel Galera (ReadWriteWeb Espana), Fabrice Epelboin (ReadWriteWeb France), Frederic Lardinois (Readwriteweb US), Stephanie Booth (climbtothestars.org), Olivier Desmoulin (Super-Marmite), Jeremiah Owyang (Altimeter Group), Paul Papadimitriou (Constellation Research), Patrice Lamothe (Pearltrees), Ariel Garten (Interaxon), Rynda Laurel (AF83inc), Robert Scoble (scobleizer), Jennifer Schenker (Informilo), Michael Schneider et Matthieu Gazier (Mobile Roadie), Michelle Blanc (Analyweb inc.), Roxanne Varza (Techcrunch), Axel Cateland (YooCasa), Ida Rose Sylvester (Silicon Valley Link), Franck Tournadour (Playlive.fm)…

La guest list sera mise à jour au fur et à mesure des confirmations de nos invités, sur Twitter (ici, ici et ici).