L’affaire DSK aura constitué une formidable publicité pour les réseaux sociaux et singulièrement Twitter ; il aurait sans doute fallu dépenser des dizaines de millions d’euros pour bénéficier d’une telle exposition médiatique. Ce qui est intéressant c’est que cette promotion des réseaux sociaux s’est faite à travers leur utilisation dans un contexte journalistique, et notamment l’usage et le partage instantané d’informations brutes. Les « live tweets » des auditions de DSK, repris en boucle par les chaînes d’information telles LCI ou BFM, constituant le paroxysme de cette visibilité des réseaux sociaux.