social media club

28
Mar

Interview with Elliot Lepers – "From the personal work of art, to the collective work of art"

The evolution of the work of art in the social media era: too much has
been written nowadays regarding the influence of social networking on the
art industry. Social Media Club France has decided to contribute to this
conversation by organizing a conference on March 22 to introduce us to this
new « digital » relationship between the artist, the work, and the public.
As a result, we asked Elliot Lepers, host of the show « L’Œil de Links »
(The Eye of the Links) on the French channel Canal+, to tell us more about
the transformation of the work of art brought on by the emergence of social
networks: copyright issues, financing and compensation.
New forms of creativity are emerging on the Internet, which serves both as
creative material and a distribution platform, and where ordinary people
become artist. From the personal work of art, to the collective work of
art. An interview with Elliot Lepers by Social Media Club France.
25
Mar

Interview Elliot Lepers : « De l'oeuvre artistique personnelle à l'oeuvre artistique collective »

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3
Nov

Le Livre Blanc 2010 du Social Media Club France

Comme nous vous l’annoncions la semaine dernière sur ReadWrite Web, le livre blanc 2010 du SMC est désormais disponible en ligne. Il vient synthétiser les résultats et découvertes de la saison écoulée, afin de partager librement le savoir échangé et enrichi par nos principaux membres actifs durant nos rencontres.

Plus d’infos et accès au document complet par ici. Bonne lecture!

5
Juil

Datajournalism : la présentation du Café Data #2 du 1er juillet à La Cantine

CAFE DATA2B

Jeudi dernier, le Social Media Club France organisait avec Squid Solutions (éditeur de solutions d’exploitation des données) et Silicon Sentier (association des sociétés technologiques d’Île-de-France) le second Café Data (série de petits-déjeuners autour de l’exploitation des données), qui portait sur le datajournalisme, ou journalisme de données.

Cette forme émergente de traitement de l’information par l’extraction, le croisement et la mise en visibilité de données chiffrées apparait pour ses promoteurs comme un formidable outil tant pour captiver et fidéliser l’audience, que pour mener des enquêtes. Pourquoi les données sont-elles devenues tant stratégiques pour les entreprises de presse ? Comment le datajournalism peut-il renouveler le « contrat de lecture » des marques médias traditionnelles ? Comment peut-il transformer les pratiques des journalistes ? Avec quelles conséquences organisationnelles ? Quelles sont les équations coûts-recettes applicables au datajournalism ?

Etaient présents:

Alice Antheaume, Responsable de la prospective et du développement international, Ecole de journalisme de Sciences Po
David Castello-Lopes, journaliste multimédia
Xavier Cazard, Entrecom
Frederic Datchary, Pikko Software
Paul Guyot, Semiocast
Jeremy Joly, Assistant chef de projet web chez Le Figaro
Michel Levy Provençal, Directeur du studio multimédia de France 24
Mathieu Magnaudeix, Journaliste chez Mediapart
Jean-Marc Manach, Journaliste et blogueur sur InternetActu, Owni et Lemonde.fr
Nicolas Marronnier, Social Media Club France
Tangui Morlier, Cofondateur de Regards Citoyens
Horia Mustafa, Journaliste / directrice adjointe du service documentation Du groupe Figaro
Valerie Pailler, Directrice Presse Ecrite et Multimédia au CFPJ
Eric Scherer, Directeur Stratégie et relations extérieures de l’AFP
Adrien Schmidt, Squid Solutions
Antonin Torikian, Silicon Sentier
Adeline Wrona, Responsable du master journalisme au CELSA

Caroline Goulard, en charge de la stratégie et du marketing média chez Owni, et Benoît Vidal, architecte de l’information, tout deux co-fondateurs d’ActuVisu, nous on livré une brillante présentation sur le thème suivant: Enjeux du datajournalism pour les rédactions : valeur ajoutée éditoriale, nouvelles compétences, évolutions organisationnelles et business model

Retrouvez ci-dessous le support de leur intervention :

N’hésitez également pas à découvrir ActuVisu, projet étudiant dont le site fraîchement lancé se propose d’expérimenter de nouvelles formes de datavizualisation et de datajournalism… A voir!

Nous publierons prochainement le compte-rendu intégral de ce petit déjeuner.

Le premier Café Data « Data Meets Media » s’est déroulé le 18 mai 2010. Il avait pour thème : « Utiliser ses données pour tester de nouvelles offres de contenus multi-supports ».

17
Juin

Les infomédiaires, au coeur de la filière de l'information en ligne – Franck Rebillard

bakchich
Crédits image: Bakchich.info



Découvrez ci-dessous le support de l’intervention de Franck Rebillard, hier à La Cantine, lors de la conférence du Social Media Club France organisée en partenariat avec la revue Réseaux et consacrée au marché de l’information journalistique sur le web.

Nous publierons très bientôt sur le blog le compte-rendu intégral de la session, restez connectez!

A lire également, l’interview de Nikos Smyrnaios par Bakchich.

4
Juin

Conférence du Social Media Club France : "Le marché de l'information journalistique sur le web" – le 16 juin à La Cantine

L’organisation de cet évènement fait suite à la sortie du dernier numéro de la revue Réseaux (Communication – Technologie – Société) consacré à la presse en ligne. Les sites d’information en ligne peuvent-ils atteindre la stabilité financière? L’information journalistique change-t-elle de nature quand elle est diffusée en ligne? Doit-on s’inquiéter des nouveaux intermédiaires qui s’intercalent entre les sites de presse et les internautes? Autant de questions auxquelles cette publication tente de répondre.

RESEAUX

Ce mercredi 16 juin, nous nous focaliserons sur les aspects socio-économiques liés à l’émergence du web et des nouvelles technologies en donnant la parole aux auteurs de deux des articles de la revue qui questionnent le marché de l’information journalistique sur le web.
Alan Ouakrat, Jean-Samuel Beuscart et Kevin Mellet ont enquêté sur les régies publicitaires de la presse en ligne, afin de comprendre le fonctionnement réel du marché publicitaire dans le domaine de l’information sur le web. Ils montrent que ce marché est très différent de celui de son corollaire imprimé, du fait de la transformation des «conventions de qualité» permises par les nouveaux instruments de mesure d’audience en ligne. Cet article explique ce qui, du fait de la construction de ce marché, rend impossible la transposition en ligne du modèle publicitaire issu du papier. Dans un autre article, Franck Rebillard et Nikos Smyrnaios étudient trois intermédiaires de l’information journalistique sur le web (Google, Wikio, Paperblog) et montrent comment s’agencent les informations d’actualités de presse sous l’impulsion de ces nouveaux acteurs, baptisés « infomédiaires ».

Rendez-vous donc le mercredi 16 juin à La Cantine pour débattre autour de ces thématiques, en présence de :

  • Eric Dagiral et Sylvain Parasie, sociologues et chercheurs au LATTS, université Paris-Est.
  • Alan Ouakrat, Jean-Samuel Beuscart et Kevin Mellet, socio-économistes au laboratoire SENSE, Orange Labs
  • Franck Rebillard, enseignant-chercheur à l’Institut de la Communication, université Lyon 2
  • Pablo Javier Boczkowski, associate professor à la Northwestern University, auteur de deux ouvrages de référence sur la presse en ligne : Digitizing the News. Innovation in Online Newspapers (MIT Press, 2004) ainsi que News at Work. Imitation in an Age of Information Abundance (Chicago University Press, 2010)

La conférence sera suivie d’un cocktail.
Les 10 euros que nous vous demandons serviront aux frais logistiques (espace, buffet, boisson).

Inscription obligatoire sur Amiando

3
Juin

"Citoyens connectés": les technologies au service de l'activisme et de la mobilisation, compte-rendu de la table ronde Web Diversity 2010

SMC Web Diversity

Crédits photo: Pierre Desmarest

L’explosion des médias sociaux et des outils de publication personnelle ont donné à des citoyens ordinaires les moyens, au moins potentiellement, de participer au débat dans l’espace public. Les technologies, par le biais de la mise à disposition d’outils d’expression, de communication mobile, de partage et de mobilisation en ligne, participent donc d’un « empowerment des citoyens » et d’un renouvellement des répertoires d’action politique et militante. Le 21 mai dernier, à l’occasion de la journée de conférences Web Diversity 2010 organisée par Internet sans Frontières à la Maison des Métallos, le Social Media Club a réuni Olivier Blondeau, Laurence Allard et Tangui Morlier en une table ronde animée par Alban Martin pour discuter autour de cette thématique.

Olivier Blondeau a commencé par nous rappeler que l’exploitation des technologies par des activistes a tout d’abord pris la forme de détournements, de réappropriation des outils pour dénoncer leur utilisation première.
Ainsi, dès 1996, les Surveillance Camera Players organisaient des représentations théâtrales publiques devant des caméras de vidéo-surveillance, afin de protester contre leur prolifération en milieu urbain.

La dénonciation des dérives de la société de surveillance reste prégnante dans les réalisations des activistes en ligne. En témoigne le projet du collectif anglais Irational qui en 2000 mit en place un dispositif de délation citoyenne de la délinquance, pluggé à un flux de vidéosurveillance de la ville de Glasgow diffusé sur leur site. Notons que cet outil a réellement été mis en place au Texas et en Europe : les sites Texas et European Border Watch proposent aux internautes de signaler par email et en temps réel tout immigrant clandestin repéré sur le flux vidéo mis à disposition en ligne, dans une inquiétante logique de « crowdsourcing de la surveillance »…

Outre le message porté par ces dispostifs artistiques en ligne, ces réalisations sont vite apparus comme de formidables outils au service des citoyens désireux de déjouer les mécanismes de surveillance mis en place sur l’espace publique, donnant lieu à un véritable maptivism visant à répertorier les outils et mécaniques de surveillance mis en place par les autorités.
Les ingénieurs de l’Institut for Applied Autonomy mettent par exemple à disposition sur leur site Isee des plans des grandes villes américaines afin qu’en s’y référant tout habitant en quête de discrétion puisse éviter les caméras de surveillance lors de ses trajets quotidiens.
Ricardo Dominguez et son collectif d’« artivists » The Electronic Disturbance Theater (EDT) ont quant à eux développé l’outil Transborder immigrant tool: une application mobile pour les candidats à l’immigration Mexicains utilisant les technologies de géolocalisation afin d’éviter les patrouilles à la frontière. Ricardo Dominguez parle de cet outil comme d’un « dislocative media », utilisant la géolocalisation non par exemple comme Foursquare à des fins d' »autosurveillance monitorée » (je renseigne les autres du lieu où je me trouve) mais pour mieux contrer la surveillance des autorités.

Transborder Immigrant Tool

De façon plus générale, ces exemples illustrent également la notion de « sousveillance » proposée par le militant Steve Mann et plusieurs fois convoquée lors de cette table ronde: elle met en lumière le phénomène de « surveillance des surveillants » au travers de contre-outils visant à surveiller les systèmes de surveillance eux-mêmes et les autorités qui les contrôlent. Des individus collectent ainsi des données sur leur environnement de surveillance et les mettent à disposition de tous en ligne.

Pour Olivier Blondeau et Laurence Allard, ces initiatives d’artistes et d’ingénieurs, activistes de la cause mais non engagés en politique, sont à l’origine d’un élargissement du champ politique aux problématiques liées à la surveillance mais surtout aux données publiques et à leur transparence.

En témoigne la création de la plateforme data.gov aux USA qui, dans un souci de transparence, met à disposition les données publiques dans des formats réutilisables par les citoyens.
On attend toujours un projet de ce type de la part de l’administration française… En attendant, des initiatives citoyennes voient le jour, et des « civic hackers » se chargent d’utiliser les outils des NTIC pour enrichir la vie citoyenne. Le code informatique, les données (publiques ou personnelles) et leur mise en visibilité sont leurs armes. Le site Nosdéputés.fr en est un bon exemple. Tangui Morlier du collectif Regards Citoyens est revenu plus en détail sur ce projet dont il est l’initiateur.

Les créateurs de Nosdéputés.fr ont mis à l’été 2009 leurs capacités techniques au service de la création d’un dispositif de mise en visibilité de l’activité parlementaire, en récupérant, mettant en forme et synthétisant les données publiques issues des séances de l’Assemblée Nationale. L’activité de chaque député est donc suivie quotidiennement et l’internaute a ainsi accès à une plateforme centralisant toutes les données et informations sur la présence, les prises de paroles et la nature des travaux legislatifs des représentants.

NOS DEPUTES

L’objectif premier est de créer un outil d’aide au citoyen, non partisan, reflétant objectivement l’activité des élus. Mais comme le fait justement remarquer Tangui Morlier, cet outil est également la condition préalable à un empowerment du citoyen, comme en atteste la possibilité de dialogue avec les élus, par le biais de commentaires a posteriori de l’activité des parlementaires, mais surtout la création de la plateforme « Simplifions la loi 2.0 » qui encourage les débats a priori, autour des projets de loi en discussion à l’Assemblée.

Au delà de l’observation et de la participation aux débats parlementaires, Laurence Allard nous a expliqué pour finir en quoi les technologies représentaient également un véritable arsenal au service de la mobilisation et de l’activisme citoyen.
Les technologies du web 2.0 et du mobile fournissent en effet des armes pour pouvoir s’impliquer dans la politique non plus par la simple et traditionnelle distribution de tracts, mais dans une logique beaucoup plus individualiste, par des actions aussi simples que d’envoyer un SMS ou un tweet en temps réel à des militants également connectés, permettant ainsi de déclencher de véritables actions dans le monde réel.

D’une part, les fonctionnalités « 2.0 » offrent une multiplicité d’outils d’expression en privilégiant les microformats: écrire sur les médias digitaux n’équivaut pas forcément à rédiger un billet de blog, mais peut se manifester par différentes procédures simplifiées (ajout aux favoris, bouton « j’aime »…) et néanmoins faire sens.

D’autre part, l’outil mobile peut être un puissant vecteur d’organisation du fait de sa masse critique d’utilisateurs : si le chiffre de 1,7 milliard d’internautes à travers le monde est déjà impressionnant, on dénombre 4,6 milliard d’abonnés mobiles, dont 60% dans les pays émergent… Comparés aux 3 milliards des médias TV et radio, ces chiffres en font en font donc le premier média personnel.
cet outil individualisé d’expression peut donc s’avérer être un formidable canal alternatif dissident au service d’une mobilisation aussi bien locale qu’internationale.

Laurence Allard a évoqué pour illustrer son propos la mobilisation de 2001 aux Philippines qui a conduit à la démission du président Estrada. L’usage du SMS étant extrèmement répandu dans ce pays (2 millions de SMS/jour), le collectif TXTPower a su utiliser au mieux les capacités de coordination des citoyens via le mobile pour organiser manifestations et rassemblements afin de protester contre le pouvoir en place.

En Egypte le groupe du 6-Avril, mouvement informel oeuvrant contre les censures et pour la liberté d’expression, est un collectif articulé par les technologies digitales dont les outils ont permis à ses militants de mettre en place, en cas arrestation d’un des leurs, un réseau d’alertes et une hotline pour donner les moyens à chacun d’organiser sa défense et de contacter au plus vite un avocat.

Lors des récentes élections américaines, on a vu pour la première fois apparaître sur Twitter l’usage du hashtag (#votereport), canal sémantique permettant de discuter autour d’un évènement particulier et qui a mis en lumière la facilité de centraliser la production de rapports sur les irrégularités dans les bureaux de vote.

USHAHIDI

Enfin, des dispositifs plus sophistiqués voient le jour. Articulation de la sousveillance et de la mobilisation, l’application Ushahidi permet par exemple l’envoi par SMS ou e-mail de rapports géolocalisés sur une carte mise en ligne et actualisée en temps réel. L’outil permet le crowdsourcing de la communication de crise en cas de catastrophe naturelle, mais aussi, dans la même veine que le VoteReport aux USA, le monitoring d’élections dans les pays susceptibles d’être touchés par la fraude, comme ce fût le cas lors des éléctions au Kenya dès 2007 avec une mise en visibilité en ligne (un mapping) des problèmes constatées par les citoyens.

C’est en Iran que cette mobilisation en ligne a eu le plus d’écho au delà des frontières et où les technologies ont permis (en partie) de donner à la mobilisation une dimension internationale. Les informations diffusées par les manifestants étant relayées dans leurs pays respectifs par la diaspora, les journalistes ou simples citoyens du monde entier ont pu suivre les évènements et se tenir informés de l’avancée des manifestations.
Mieux encore, une véritable solidarité technique transnationale s’est mise en place sur les réseaux pour permettre aux militants Iraniens de faire sortir leur contenu (photos, vidéos…) du pays en toute sécurité par le biais de proxies sécurisés. Ne cédons toutefois pas à un techno-euphorisme naïf (« la révolution sera tweetée »!!): les réseaux restent surveillés et les pouvoirs oppressifs ont très bien compris les enjeux (et les dangers les concernant) en terme de communication et de circulation de l’information liés à ces nouvelles technologies web et mobile.

La pervasivité des informations due à la puissance de propagation des microformats et l’étendue du « mobile scape », espace transnational limité par la couverture du réseau et tramé par les flux de données en constante circulation, expliquent donc l’utilisation récurrente de ces nouveaux outils aux quatre coins du monde. Les technologies demeureront sans nul doute les armes pacifiques utilisées par des citoyens désireux de s’organiser au service d’une cause, de faire fléchir un gouvernement, ou simplement de défendre leur droit le plus élémentaire: s’exprimer librement.

La capture audio de la table ronde est disponible en téléchargement sur le site d’Alban Martin.

21
Avr

La conférence Corporate Strategy 2.0 du 14/04 en vidéo: avec Facebook, Paypal et Viadeo

CS22

CS2

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Retrouvez la vidéo accompagnée des slides de la présentation sur la plateforme de contenus de La Cantine.

9
Avr

La conférence Storytelling Digital du 08/04 en vidéo

vidéo

story

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8
Avr

Facebook France sera présent le 14 avril à La Cantine lors la formation Corporate Strategy 2.0

FB LARGE

14h00 : Demi-journée de formation
Petit changement de programme concernant la demi-journée de formation du mercredi 14 avril prochain : l’atelier que Frédéric Prigent de Tradedoubler devait initialement animer sera finalement encadré par Facebook France, en la personne de Xavier Leclerc (Account Executive – Facebook France) qui nous expliquera comment optimiser l’impact et les revenus issus d’investissements marketing sur les réseaux sociaux. Comment développer des interactions pertinentes avec les utilisateurs des sites communautaires via une stratégie d' »engagement advertisement » ? Comment intégrer Facebook en tant que canal marketing pour se connecter et communiquer avec les 400 millions d’utilisateurs actifs de ce réseau social ?

18h00 : Conférence
Xavier Leclerc
interviendra également lors de la conférence de clôture à 18h00, animée par Laurent Dupin (co-fondateur LeWebLab.com) aux côtés de Gimena Diaz (Paypal) et Nicholas Vieuxloup (Viadeo).

Le programme complet de la demi-journée

workshop

Quelques places sont encore disponibles pour le workshop (ainsi que pour la conférence en fin de journée si vous ne pouvez vous libérez pour l’après-midi entière!) qui réunira trois des acteurs majeurs du web français (Viadeo, Paypal et donc Facebook), n’hésitez donc pas à vous inscrire (inscriptions ouvertes jusqu’au lundi 12 avril au soir).