Ce que l’on retient des échanges:
Tour de table : l’organisation en interne
Les difficultés rencontrées sont nombreuses et protéiformes. Pour Romain Gauvrit, responsable communication B2B chez Egis et Emmanuelle Garnaud-Gamache, directrice du développement international chez B<>Com, la principale difficulté est celle de la temporalité de leur processus de vente respectif. Emmanuelle Garnaud-Gamache explique : « Entre la première démonstration d’une technologie et le moment où elle est transférable, il peut s’écouler trois ans. ». D’où la nécessité d’accompagner ce cycle long par une communication de marque forte. « Celle-ci s’articule sur deux grands axes, d’abord promouvoir l’influence de la marque corporate, et ensuite soutenir l’équipe marketing et vente. »
Ce que l’on retient des échanges :
« C’est le syndrome du copilote », commence Clément Brygier, cofondateur & CEO chez Digital Insighters. « Vous avez un dashboard plein de KPIs (Key Performance Indicator) constamment sous les yeux. Vous pensez que parce que vous mesurez, vous contrôlez, mais c’est illusoire. Par exemple, un KPI n’oriente pas s’il a été présenté à la mauvaise personne. » La discussion du jour, animée par Clément Brygier et Charlotte Clémens (Managing Director France chez Talkwalker), prolonge celle qui eut lieu en novembre dernier autour de l’articulation des KPIs social data dans les organisations*.
« Il faut choisir les KPIs qui correspondent aux objectifs pour pouvoir mesurer leur réussite », Caroline Cassino (Chananas).
Ce que l’on retient des échanges :
● Identifier la source et la visée de la fake news permet d’adapter sa réponse ;
● Établir et consolider des « ponts humains » avec les journalistes contribue à limiter le
relai des fake news ;
● Une bonne organisation en interne peut réduire la fréquence de confrontation à des
fake news.
Elle est protéiforme et ultra-répandue, c’est la terreur des entreprises, en particulier de celles
côtées en Bourse… la fake news fait aujourd’hui partie du quotidien des Dircom. « Il y a les
fake news malveillantes, comme celles qui visent à faire chuter le cours de la Bourse pour
voler de l’argent. Il y a les fake news qui relèvent de l’activisme. Et enfin il y a les fake news
de type rumeur, c’est-à-dire une information mal comprise et déformée. Ce qui est essentiel,
c’est d’identifier le genre de fake news auquel on a à faire, car celui-ci en conditionne la
gestion », souligne Loïck Tanguy, Chief Marketing Officer d’Epresspack, membre du Social
Media Club et partenaire de ce douzième #CercleDircom.
Ce que l’on retient des échanges :
« L’enjeu de cet échange autour du social shopping, » rappelle en ouverture de séance Loick Tanguy, Chief Marketing Officer pour ePressPack « c’est de définir les outils utilisables aujourd’hui comme demain pour transformer une communauté en acheteurs. ». Lire la suite
Ce que l’on retient des échanges :
· La marque employeur existe, de fait, dès lors qu’une entreprise est présente et visible sur un
marché. Une stratégie de marque employeur vise alors à la façonner, pour s’adresser de façon
pertinente aux différents publics visés.
· La marque employeur ne s’affranchit pas de la communication corporate, elle en est une
nuance.
· Aux frontières de la communication et du marketing, la marque employeur dispose d’un
ensemble de metrics qui permet d’évaluer facilement l’efficacité du dispositif et de valoriser ces actions auprès du Comex.
Une étude Linkhumans* de 2019 montre que les entreprises avec une marque employeur forte font
43 % d’économies sur leurs coûts d’embauche. En effet, 62 % des candidats font des recherches sur
la marque employeur d’une société sur les réseaux sociaux. Mieux encore, 82 % des salariés
envisageraient de quitter leur entreprise pour une autre ayant une meilleure réputation. Budget,
rétention des talents, recrutement, la marque employeur est sur tous les fronts. Mais comment
convaincre sa direction de la pertinence de ce dispositif? Comment créer une stratégie efficace et
cohérente sur le long terme?
Ce que l’on retient des échanges :
« S’interroger sur la Social Data est, depuis le confinement, encore plus pressant » avance en guise de prélude Clément Brygier, cofondateur & CEO chez Digital Insighters et co-médiateur de cette séance. D’abord parce que le confinement produit mécaniquement plus de Social Data – il y a plus de monde sur internet -, mais aussi parce que sont générés en ce moment des nouveaux comportements que la Social Data peut aider à analyser.
Ce que l’on retient des échanges :
La gamification (ou « ludification ») apparaît au début des années 2000, quand les stratégies marketing commencent à s’appuyer sur les mécaniques du jeu-vidéo (la narration, le compte à rebours classement, la collaboration en équipe, etc.). Aujourd’hui, elle est au cœur de celles-ci, notamment sur les réseaux sociaux. Lire la suite
Ce que l’on retient des échanges:
Pour parler de Dark Social, rien de mieux que de se retrouver par le biais d’une conférence vidéo. En cette période de confinement, les professionnels des Social Media ont su rebondir pour se retrouver et témoigner de leurs différentes stratégies. Car c’est en partie cela le Dark Social, se réunir loin des réseaux sociaux publics auprès d’une communauté fermée. Lire la suite
Ce que l’on retient des échanges :
La vidéo en social media est au croisement d’un nombre assez conséquent d’impératifs, voire de « dictatures » auxquels le producteur doit se soumettre, avec en contrepartie une agilité et une capacité de test beaucoup plus importante que pour les autres médias.
Ce que l’on retient des échanges :
Reporting de campagnes sur les réseaux sociaux, remontées d’insights aux directions marketing, communication et gestion de crise, les usages de la social data sont variés et largement développés chez les annonceurs. Comment les directions de la communication l’intègrent dans la prise de décision ? Quels sont les outils utilisés ? Comment diffuser son usage au sein des autres entités, localités ?